Résidente à la fondation l’Accolade.
Projet de recherche autour de l’Ortie, Paris.
La seconde saison de résidences de recherche et de création de la Fondation LAccolade se déroule de février à octobre 2022 avec comme titre « La Vie Enchevêtrée».
Il n'y a de compréhension possible du vivant qu’à le concevoir comme enchevêtrement, entrelacement, emmêlement. A ces notions d’enchevêtrement et d’entrelacement s’opposent celle de séparation. Nouer avec le vivant c’est entrelacer ce qui a été délacé, délaissé, c’est plaider que l’enchevêtrement est l’architecture du vivant dans toute son étendue et diversité, c’est accepter l’emmêlement avec les non-humains et tous les éléments de nature.
Luz Moreno Pinart est la première artiste invitée de cette saison. Pour sa résidence de recherche et de création, l’artiste a déployé des œuvres liées à l’ortie, déclinant la plante et ses fibres dans toute leurs dimensions, dont celles textiles et alimentaires. Elle crée une installation totale faisant appel à tous les sens, réhabilitant une plante mal aimée ou négligée. Elle tisse, tresse, trame un récit total qui nous lie au monde végétal et ses vertus.
©Martin Argyroglo, Courtesy of Fondation LAccolade - Institut de France.-
Résidente à la fondation l’Accolade.
Projet de recherche autour de l’Ortie, Paris.
La seconde saison de résidences de recherche et de création de la Fondation LAccolade se déroule de février à octobre 2022 avec comme titre « La Vie Enchevêtrée».
Il n'y a de compréhension possible du vivant qu’à le concevoir comme enchevêtrement, entrelacement, emmêlement. A ces notions d’enchevêtrement et d’entrelacement s’opposent celle de séparation. Nouer avec le vivant c’est entrelacer ce qui a été délacé, délaissé, c’est plaider que l’enchevêtrement est l’architecture du vivant dans toute son étendue et diversité, c’est accepter l’emmêlement avec les non-humains et tous les éléments de nature.
Luz Moreno Pinart est la première artiste invitée de cette saison. Pour sa résidence de recherche et de création, l’artiste a déployé des œuvres liées à l’ortie, déclinant la plante et ses fibres dans toute leurs dimensions, dont celles textiles et alimentaires. Elle crée une installation totale faisant appel à tous les sens, réhabilitant une plante mal aimée ou négligée. Elle tisse, tresse, trame un récit total qui nous lie au monde végétal et ses vertus.
©Martin Argyroglo, Courtesy of Fondation LAccolade - Institut de France.-